Sikhisme

Le sikhisme est une religion monothéiste fondée dans le nord de l'Inde au XVe siècle par le gurû Nanak.



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  • Les disciples du guru Nânak. En effet, le mot sikh veut dire disciple.... L'ensemble des membres de cette fraternité portent par conséquent le nom de Singh, «Lion»..... Le sikhisme est probablement prêt à s'ouvrir, comme il l'a fréquemment prouvé.... (source : clio)
  • Le mot sikhisme provient du mot Sikh qui veut dire disciple.... Le Gourou Nanak (1469-1538), le fondateur du sikhisme, naît dans le ... La cohérence du sikhisme est à mettre au bénéfice de son concept central... plutôt que le nom Singh qui est réservé normallement aux hommes, mais peu de pays permettent cet usage.... (source : unisson06)
  • Bien plus qu'une religion, le sikhisme est la manière de vivre d'une communauté... A part Nanak, ce fut Gobind Singh (1666-1718), le dixième gourou, ... Sikh a comme origine le mot sanskrit "shishya" qui veut dire disciple ou élève.... (source : kondratieff)

Le sikhisme est une religion monothéiste fondée dans le nord de l'Inde au XVe siècle par le gurû Nanak.

Le mot «sikh» est dérivé du mot sanskrit ????? (śiṣya) signifiant disciple ou étudiant, ou de ????? (śikṣa), signifiant étude ou instruction[1]. L'expression du monothéisme des Sikhs réside dans le symbole ? - ik Ong Kar, qu'on peut traduire par "une seule (ik) conscience créatrice (ong) manifestée (kar) ". La doctrine du sikhisme se base sur les enseignements spirituels des Dix gurûs, recueillis dans le Siri Guru Granth Sahib.

Histoire

L'enseignement sikh est né dans le contexte des rencontres entre l'islam et sa mystique soufie, et une partie de la spiritualité hindoue, dont on peut retrouver la trace dans le caractère dévotionnel prononcé de la littérature et de plusieurs de ses doctrines, proches du concept hindou de bhakti. Le sikhisme se veut plus qu'un simple mélange de deux religions plus anciennes, mais comme un enseignement spirituel véritablement nouveau.

Gurû Nanak (1469-1539), fondateur du sikhisme, est né dans le village de Talwandi, appelé désormais Nankana Sahib, près de Lahore, dans l'actuel Pakistan. Ses parents sont hindous et appartiennent à une caste marchande : les Khatri du Pândjab. Dès son enfance, Nanak est fasciné par la spiritualité et montre des dispositions peu ordinaires pour l'apprentissage. C'est probablement durant cette période qu'il découvre l'enseignement de Kabîr, un saint révéré autant par les hindous que par les musulmans. Après une expérience spirituelle de «fusion» avec l'essence de toute chose, Gurû Nanak compose le Jap Ji, poème mystique qui résume un enseignement qu'il décide de partager. Il voyage dans toute l'Inde et dans de nombreux pays environnants - Népal, Tibet, Sri Lanka, avant d'entamer un long périple au cœur du monde musulman. En effet, le premier disciple et ami d'enfance de Nanak, Mardana, barde attaché à la famille du Gurû, est de confession musulmane. Nanak décide de suivre Mardana qui effectue son pèlerinage à La Mecque. Ce voyage les conduira surtout dans la péninsule d'Arabie, en Perse et en Afghanistan.

Après plusieurs années de voyage, Guru Nanak réunit une communauté et fonde un village, Kartarpur - la Ville du Créateur. Il enseigne sans relâche et de nombreuses personnes viennent à son enseignement. La religion, pense-t-il, est un lien pour unir des hommes, mais dans la pratique il constate qu'elle monte les hommes les uns contre les autres et est à l'origine de nombreuses discriminations : entre hommes et femmes, entre castes, entre religions, entre origines ethniques, etc. Il regrette surtout l'antagonisme entre hindous et musulmans, lorsque lui voit la richesse commune de ces deux religions. Une sentence bien connue de Nanak est : «Il n'y a ni hindou et ni musulman.» À ceux qui demandent tandis qui ils sont s'ils ne sont ni hindous, ni musulmans, il répond : «vous êtes des disciples». C'est ainsi que le mot Sikh (disciple), se répand.

Gurû Nanak est opposé au système des castes. Ses fidèles se réfèrent à lui comme gurû (professeur, maître). Avant sa mort, il indique un nouveau gurû pour être son successeur et pour mener la communauté. Le dixième et dernier gurû, Gurû Gobind Singh (1666-1708) introduit la cérémonie de baptême sikh en 1699 donnant par là une identité caractéristique aux Sikhs. Les cinq Sikhs nouvellement baptisés sont nommés Panj Pyare, Les Cinq Bien-Aimés, qui baptisent à leur tour le gurû à sa demande.

Avant son décès, le gurû complète l'Âdi Granth des œuvres de son prédécesseur, le renommé Siri Guru Granth Sahib, et commande qu'il soit dorénavant l'autorité spirituelle définitive et que l'autorité temporelle passe au Khalsa Panth - la Communauté des Sikhs. Le livre saint des Sikhs est compilé et édité par le cinquième gurû, Gurû Arjun en 1604. Ce sont les premières écritures saintes dans le monde à avoir été compilées par les fondateurs d'une foi au cours de leur vie (les écrits saints de la religion bahá'íe au XIXe siècle étant aussi tous rédigés par le fondateur lui-même ou en sa présence). Elles sont en particulier rédigées en panjâbî, mais également en hindi, en persan, etc.

Guru Arjan construisit aussi le mondialement célèbre Gurdwârâ - Darbar Sahir, à Amritsar, qui est le centre du Sikhisme.

Durant le XVIIIe siècle, les Sikhs firent l'objet de répressions et de persécutions diverses de la part des autorités, poussées par le fanatisme général. Ils durent faire des sacrifices extrêmes pour protéger et préserver leur foi et leur identité. L'empire Moghol était en voie de désintégration, les Afghans, sous la conduite d'Ahmed Shah Abdali, avaient commencé à envahir le pays. Les Sikhs profitèrent de ces circonstances pour établir leur propre royaume qu'ils achevèrent de former sous le Maharaja Ranjit Singh (1780-1839). L'empire sikh dura un demi-siècle et fut annexé par les anglais en 1849.

Durant la guerre d'indépendance de l'Inde, de nombreux Sikhs furent pendus, durent faire face à toutes sortes de brutalités, se battre contre l'occupant, subir de longues périodes d'emprisonnement pour libérer le pays. Quoique les Sikhs ne représentent que 1, 8% de la population de l'Inde, ils se sont néanmoins forgé une solide réputation dans quasiment l'ensemble des domaines, tels que l'armée, l'agriculture, les sports, l'industrie, l'éducation, la médecine, l'ingénierie etc. à force de persévérance et de travail dans un esprit de dévouement missionnaire. Leur goût de l'aventure et de l'entreprise les a conduits dans presque l'ensemble des pays du monde.

Religion et Philosophie

La religion Sikh est strictement monothéiste. Ses adeptes croient en un seul Dieu Suprême, Absolu, Illimité, l'Éternel, le Créateur, la Cause des causes, sans inimitié, sans haine, à la fois immanent et transcendant.

«Ô mon âme, tu es l'incarnation de la lumière,
Connais ton Essence,
Ô mon âme, le Seigneur est toujours avec toi,
A travers la parole du Guru, jouis de Son Amour,
Connaissant ton Essence, tu connais ton Seigneur,
Et tu connais le mystère de l'apparition et de la mort»»
(Guru Granth, p. 441)

Le postulat de base du Sikhisme est qu'il n'y a pas de péché originel, mais la vie ayant émané d'une Source Pure, le Seigneur de Vérité demeure en elle .

Ainsi Nanak dit :

«O mon âme, tu es l'étincelle de la Suprême Lumière,
Connais ton Essence»

Non seulement toute la philosophie Sikh, mais également toute l'histoire et le tempérament des Sikhs découlent de cette manière de voir.

Les Sikhs ne reconnaissent pas le dispositif de castes ; de même, ils ne croient pas en l'adoration des idoles, dans les rituels ou les superstitions. Dieux et déesses ne sont pas reconnus comme des êtres.

Cette religion correspond à une manière d'être, de rendre service à l'humanité et d'engendrer tolérance et fraternité vis-à-vis de tous. Les Gurus Sikh ne demandent pas le retrait du monde pour atteindre le Salut. Il peut être atteint par chaque personne qui gagne honnêtement sa vie et mène une existence normale.

«Celui-là seul connaît la Voie, ô Nanak,
qui gagne sa vie à la sueur de son front
et ensuite partage avec les autres»
(Guru Granth, p. 1245)

Nanak donne à une humanité opprimée un nouvel espoir de rejoindre sa fraternité comme égal. Il est le Créateur de l'Homme Nouveau, dans un monde nouveau soutenu par une nouvelle morale.

Richesse et possessions personnelles ne sont pas des obstacles à la réalisation d'idéaux spirituels. Le Sikh ne croit pas en la sentence : «Il est plus facile à un chameau de passer par le chas d'une aiguille que pour un homme riche d'entrer dans le Royaume de Dieu». Par contre, le dicton Sikh est le suivant :

«Ceux qui sont dans l'intimité du Seigneur, par la grâce du Guru,
Parviennent au Seigneur au sein de Maya (c'est-à-dire abondance) »
(Guru Granth, p. 921)

Le Sikhisme n'accepte pas le pessimisme. Il préconise l'optimisme et l'espoir. Le précepte  : «ne réponds pas à l'offense, mais à celui qui t'a frappé sur la joue droite, tend la joue gauche» ne trouve pas sa place dans le mode de vie Sikh. Par contre, il enjoint à ses adeptes :

«Quand l'ensemble des autres recours ont été épuisés,
alors il est idéalement juste de tirer l'épée. »
(Guru Gobind Singh)

La position doctrinale de Nanak est assez simple, en dépit de son origine. La cohérence du sikhisme est à mettre au bénéfice de son concept central simple - la souveraineté d'un Dieu unique, le Créateur. Nanak l'appelle «Le Nom Vrai» pour éviter d'utiliser un terme qui soit plus restrictif. Il enseigne que «Le Nom Vrai», qui se manifeste de manières diverses, dans des lieux divers et par des noms divers, est éternellement «Un», Dieu souverain et omnipotent, à la fois transcendant et immanent, créateur et destructeur.

Dieu prédestine l'ensemble des créatures et ordonne que la plus haute créature, l'homme, soit servi par les créatures inférieures. Selon Nanak, discuter quels composants de sa croyance proviennent de l'hindouisme, quels sont musulmans, c'est discuter comme un idiot qui cherche quelle religion possède le droit de professer des concepts universels tels que la bonté, la charité, l'honnêteté, la vénération du nom de dieu, le respect des autres.

Gurû Nanak souscrit aussi à la croyance en la mâyâ, l'illusion du monde physique. Quoiqu'il considère les objets matériels comme des réalités et comme des expressions de la vérité éternelle du créateur, ils tendent à ériger «un mur d'erreurs» autour de ceux qui ne vivent que dans un monde des désirs matériels. Ceci les empêche de voir le Dieu vrai qui a créé la matière comme un voile autour de lui, de sorte que seules les consciences spirituelles, libérées du désir, puissent le pénétrer.

Le monde est immédiatement vrai dans le sens qu'il est rendu manifeste aux sens par la maya, mais il est finalement irréel puisque seul Dieu est finalement vrai. Conservant la doctrine hindoue de la transmigration des âmes, mais aussi son corolaire, la loi du karma, Nanak conseille aux fidèles de ne pas prolonger leur cycle de réincarnations par une vie hors de Dieu en optant pour l'égoïsme, les plaisirs charnels et une vie matérialiste.

Pour faire ceci il faut accumuler du karma. On doit ne penser qu'à Dieu, répéter sans fin le nom de Dieu (Nam Japa) et ainsi s'unir avec Dieu. Le salut, dit-il, ne veut pas dire entrer au Paradis après le Jugement dernier, mais s'unir à Dieu et se fondre en Lui.

Un Sikh ne peut avoir foi en aucun autre prophète vivant ou non vivant. En accord avec le Sikhisme, Dieu n'apparaît jamais sous forme humaine. Le paradis et l'enfer n'existent que dans ce monde.

Le Sikhisme est basé sur la théorie du karma[2] et de la réincarnation[3] ; on évite les réincarnations en renonçant aux vices (alcool, tabac, jeux de hasard), en surmontant son propre égoïsme (haumou), en menant une vie intègre et honnête, car l'objectif suprême de l'existence est la libération (mukti) [4]. Dans le Sikhisme, le concept de la Libération n'est pas dans un «autre monde», c'est d'être un Sachiar, «réalisé par Soi-Même»[5].

Le pèlerinage vers des lieux saints ne trouve pas sa place dans le Sikhisme. Pour un Sikh, Shabad (la Parole) est l'unique lieu saint et l'eau sacrée des rivières, la méditation, et une vie de vérité sont l'unique pèlerinage.

Le Sikhisme n'est pas une religion fataliste. Un Sikh se soumet à la volonté de Dieu mais est toujours disposé à se battre pour de meilleurs lendemains.

Le Khalsa

Le Khālsā (mot d'origine persane qui veut dire "pur"), est le nom, originellement donné par Guru Gobind Singh, à l'ordre chevaleresque des Sikhs qu'il créa en 1699. Par extension, le mot sert à désigner chaque membre de cet ordre, chaque Sikh (homme ou femme) qui a été baptisé ou initié en recevant l'Amrit.

Article détaillé : Khalsa.

Les Sikhs dans le monde

On trouve des communautés Sikhs dans de nombreux pays. En Inde, on estime la communauté Sikh à quelque 20 millions de personnes, soit à peu près 2% de la population indienne. Les Sikhs sont installés essentiellement au Pendjab, mais également dans la région de Delhi. Ailleurs dans le monde, on trouve aussi d'importantes communautés Sikh au Pakistan, Royaume-Uni et dans les anciennes colonies britanniques - Canada, Australie, Singapour, Kenya, etc. - ainsi qu'aux États-Unis, ainsi qu'en Indonésie.

Notons aussi qu'il existe une communauté de plus en plus importante de Sikhs occidentaux - ou d'origine non indienne - pour la majorité pratiquants du Kundalinî Yoga. Cela s'explique par l'appartenance à la spiritualité Sikh de Yogi Bhajan, maître de Kundalini Yoga, et par les nombreuses passerelles qui existent entre l'enseignement spirituel des Sikhs et celui du Kundalinî Yoga tel qu'il a été popularisé par Yogi Bhajan. Notons par exemple que la majorité des mantras du Kundalini Yoga sont extraits du Siri Guru Granth Sahib.

En Amérique du Nord

Après les attentats du 11 septembre 2001, quelques Américains[Qui ?], confondant les symboles de croyance religieuse, tels que les turbans et les barbes, avec ceux des terroristes qui ont effectué les attaques, se retournent contre les sikhs et maltraitent ou blessent certains membres de la communauté sikh. Dans les mois qui suivent l'attaque, pas loin de 300 incidents sont rapportés sur le sol américain, incluant menaces, actes de violence, et même mort.

Le 2 mars 2006, un jugement de la Cour suprême du Canada a légalisé le port du kirpan dans les écoles publiques en se fondant sur la liberté religieuse garantie par la Constitution. La Cour a jugé qu'une autorité scolaire ne pouvait interdire complètement le port du kirpan par un élève, étant donné que le kirpan est porté dans des conditions sécuritaires.

En Europe

Dans une décision du 12 juillet 1978, la Cour européenne des droits de l'homme a estimé que l'obligation, pour les Sikhs motocyclistes, de porter un casque (en abandonnant leur turban) n'est pas contraire à l'article 9§2 de la Convention européenne des droits de l'homme[6].

En France, la loi visant à interdire le port «ostensible» de symboles religieux dans les écoles publiques conduit désormais régulièrement à l'exclusion de l'enseignement public de lycéens et de collégiens Sikhs refusant d'ôter leurs turbans. Dans un arrêt du 15 décembre 2006, le Conseil d'État a reconnu que l'obligation, pour les Sikhs, de poser tête nue pour la photographie du permis de conduire n'était pas contraire aux articles 9 et 14 de la de la Convention européenne des droits de l'homme[7].

Sikhs marginaux

Les sikhs marginaux et nomades Nihan Singh mangent de la viande tandis que les autres sikhs sont végétariens. Au cours de cérémonies rituelles, des chèvres sont décapitées d'un coup de sabre et leur chair est consommée par les assistants. C'est une manière de montrer qu'ils sont différents des autres sikhs. Et pour ceux-ci, une raison de les tenir à l'écart.

Explication du nom "Singh"

Énormément de Sikhs ont pour nom "Singh". Ce mot, qui veut dire "lion", est rarement un "nom de famille" à proprement parler mais plutôt un titre ou surnom ("middle name") porté par les hommes Sikhs ; le nom ajouté pour les femmes est "Kaur".

Cependant, l'ensemble des "Singh" ne sont pas Sikhs, ce nom étant aussi porté beaucoup par les hindous : exemples de deux personnalités : Vijay Singh, écrivain et cinéaste indien et le golfeur fidgien du même nom ne sont pas Sikhs.

voir aussi http ://en. wikipedia. org/wiki/Singh / http ://en. wikipedia. org/wiki/Kaur (pages en anglais)

Quelques Sikhs célèbres à l'époque contemporaine

Quelques Sikhs dans les médias

Bande dessinée

Dans la série des "Black et Mortimer", Nasir, leur fidèle ami rencontré dans "le secret de l'espadon" et successivement Soldat d'élite, majordome puis agent des services secret, est un sikh malgré quelques maladresses de l'auteur qui ne connaît guère son sujet.

Cinéma

Références

  1. Singh Khushwant, The Illustrated History of the Sikhs, Oxford University Press, 2006, p. 15, ISBN 0-19-567747-1
  2. [1] Le Gurbani dit : "Par le karma des actes passés, la robe de ce corps physique est obtenu. Par Sa grâce, on trouve la porte à la libération. Mais ce n'est que par la grâce du Guru qu'on peut surmonter le karma et obtenir le bonheur absolu. Je n'ai pas de bon karma. Je n'ai pas de foi religieuse ou de pureté. Mais Dieu m'a pris par le bras et a fait de moi son disciple. ||4||"]
  3. Encyclopédie des Religions, Gerhard J. Bellinger, LE LIVRE DE POCHE, ISBN 2-253-13111-3, p. 710-711
  4. Encyclopédie des Religions, Gerhard J. Bellinger, LE LIVRE DE POCHE, ISBN 2-253-13111-3, p. 710-711
  5. Gurû Granth Sahib p. 522
  6. Cour européenne des droits de l'homme, décision sur la recevabilité du 12 juillet 1978, X. c. Royaume-Uni, n° 7992/77
  7. CE 15 décembre 2006, N° 289946; conclusions Terry Olson AJDA 2007, p. 313

Voir aussi

Liens externes

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