Nouvelles Méditations poétiques
Les mérites nouveaux qu'on avait admirés dans les Méditations poétiques de Lamartine se retrouvèrent dans ses Nouvelles Méditations poétiques, avec d'avantage de richesse dans la forme peut-être, avec d'avantage de grâce voluptueuse.
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Les mérites nouveaux qu'on avait admirés dans les Méditations poétiques de Lamartine se retrouvèrent dans ses Nouvelles Méditations poétiques, avec d'avantage de richesse dans la forme peut-être, avec d'avantage de grâce voluptueuse. Principalement spiritualiste, religieux, avec une ardeur sentimentale qui est éminemment lyrique, Lamartine, a représenté la Nature beaucoup, sans aucune préoccupation d'exactitude descriptive, mais comme une chose toute pénétrée d'âme, où sa sympathie se fond et s'anéantit. La forme des Méditations, fréquemment molle et fluide, atteint, lorsqu'elle est soutenue par un sentiment profond, la plus forte et la plus suave harmonie.
Les poèmes les plus remarquables de ces Nouvelles Méditations sont : Ischia, la Sagesse, les Préludes et le Crucifix.
Source
- Nouveau Larousse illustré, 1898-1907
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